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Cours d'image de marque : présentation (1ère et 2ème année)
Archibald Stratocumulus
Archibald Stratocumulus
Messages : 21
Date d'inscription : 29/01/2024
Archibald Stratocumulus
Lun 12 Fév - 16:58
NC
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Marissa Dumas
Marissa Dumas
Messages : 81
Date d'inscription : 18/05/2023
Marissa Dumas
Mer 14 Fév - 19:37
En s’inscrivant à la FEAH pour devenir super-héroïne, Marissa pensait accéder à une profession ressemblant de près à celle de gendarme, en moins austère et avec plus de liberté. Elle ignorait alors tout l’aspect médiatique, politique, et marketing qu’il y avait autour. Ce furent les cours d’image de marque qui l’informèrent de ces facettes du métier, et la jeune femme qui suivait cette voie par altruisme plus que pour la gloire ou la richesse redoutait chacune d’entre elles. Pour autant, elle s’accrochait, essayant de se convaincre que cette désillusion n’était pas un motif suffisant pour repenser son choix de carrière… pas maintenant en tout cas.

L’heure étant venue d’assister au cours le moins palpitant de la journée, Marissa entra dans la salle n°209 avec peu d’enthousiasme, une attitude peu habituelle pour l’élève studieuse qu’elle était. Elle fut étonnée d’entendre des voix qu’elle ne connaissait pas, mais finit par repérer ses amis dont Séphora, l’une des membres de son trio. Après s’être installée à côté de cette dernière, elle sortit son ordinateur portable et ses écouteurs pour pouvoir prendre des notes. Toutefois, elle n’en aurait pas besoin aujourd’hui, car le professeur Stratocumulus avait préparé un cours spécial, une mise en pratique qui prendrait la forme d’une fausse interview. À ces mots, la jeune femme essaya tant bien que mal de contenir son stress.

Les journalistes. C’était sans doute l’une des choses qui l’angoissaient le plus. Marissa appréhendait beaucoup de se retrouver confrontée à l'un de ces reporters, une situation qui finirait bien par lui arriver si elle poursuivait dans la voie super-héroïque. L’idée même de se faire bombarder de questions par des inconnus beaucoup trop entreprenants l’effrayait énormément. Et, justement, elle avait toujours du mal à s’exprimer et à formuler correctement ses idées dans ce genre de moments stressants. Elle se reprenait beaucoup, bégayait… et en plus, sa voix était trop bizarre et suffisait à attirer la curiosité sur sa vraie nature. Alors, heureusement qu’aujourd’hui elle parlerait face à un ami plutôt qu’à un vrai journaliste.

« Heu, Séphora, tu veux bien qu'on se mette ensemble ? Si ça ne te dérange pas, j’aimerais faire la journaliste en premier. Est-ce que ça te va ? »
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Séphora Belami
Séphora Belami
Messages : 51
Date d'inscription : 03/09/2023
Age : 35
Séphora Belami
Mer 14 Fév - 20:23
Séphora n'était pas à la FEAH pour devenir une super, par les Moires, non. Elle avait d'autres ambitions dans la vie que d'exercer en slip sur un collant, quitte à porter quelque chose de peu flatteur et d'un style douteux elle préférait la robe des avocats. Au moins en Gaule il n'y avait pas de perruque ridicule à ajouter à la panoplie, c'était déjà un certain réconfort. Aussi, elle entretenait un rapport assez ambigu avec le cours d'image de marque.

Le sujet en soi ne lui déplaisait pas, Séphora Belami accordait une grande importance aux apparences. C'était dans la culture familiale depuis aussi loin qu'on pouvait remonter la généalogie. Mais elle ne voyait aucun intérêt pour elle, déjà elle avait un sens inné de ce genre de chose (ou bien acquis assez tôt pour que ce soit le même chose). C'était totalement superflu. Ensuite, parce qu'elle n'avait aucune intention d'en faire usage dans un contexte énoncé par le cours. Mais il y voyait un intérêt qui aidait à relativiser les heures qu'elle passait dans cette matière, qui autrement auraient été qualifiées de "pure perte". Elle voyait ainsi ce que ses futurs clients avaient comme bases et attentes. Elle pourrait ainsi anticiper et se conformer aux attentes. En bref il s'agissait d'un exercice pour la suite. Pas le plus intéressant, mais pas le plus inutile non plus.

Au moins ce cours-ci avec son jeu de rôle digne d'une séance de team building imaginée par un RH sous Xanax, ne serait-il pas trop… prévisible ? Enfin toujours plus animé que les CM habituels. Séphora était en train de ranger son MacBook pour sortir papier et stylo quand Marissa lui adressa la parole.

-Avec plaisir, Marissa. Et je n'ai aucune objection, on fait comme tu le préfères.
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Lucilien Leonhart
Lucilien Leonhart
Messages : 10
Date d'inscription : 13/02/2024
Lucilien Leonhart
Jeu 15 Fév - 11:21
ft. Multi
Décembre 2008 ◈ Salles de cours de la FEAH
Lucilien joue les orateurs en LemonChiffon

Cours d'image de marque : présentation
Un journaliste n’était jamais en retard, ni en avance d’ailleurs. Il arrivait précisément à l’heure prévue.

Ou était-ce Gandalf ? Peu importe, songea Lucilien. Si le professeur de la FEAH ou l’un des étudiants le questionnait à ce sujet, il rétorquerait cette belle phrase, puis remarquerait celles et ceux qui disposaient d’un minimum de culture. A plus d’une reprise, il avait d’ailleurs pensé récupérer une copie de collection du bâton de Gandalf pour s’approprier ses pouvoirs, mais ce bâton était tout sauf discret - mais avec Pomme d’Amour, pourquoi pas ? Une nouvelle arme à son arsenal ne ferait pas de mal ! Toutefois, dégotter le bâton à un prix abordable relevait d’un sacré défi.

Lucilien n’apporta néanmoins aucun jouet avec lui alors qu’il se rendait sur le campus de la FEAH - à l’exception de la baguette magique, habilement dissimulée dans sa canne, un peu à la Lucius Malefoy. Personne n’en soupçonnait l’existence, mais de cette façon, il ne se retrouvait jamais désarmé, peu importe la situation. Être capable de rebondir peu importe les circonstances, voilà une règle essentielle pour tous ces futurs héros en devenir - la FEAH la leur apprenait-elle seulement ? Avec cette université de seconde zone, Lucilien s’attendait à tout. Vu l’attitude pingre de leur directeur, ce dernier avait-il daigné embaucher des professeurs décents, ou avait-il engagé les premiers venus qui n’avaient pas des exigences salariales très prononcées ? La question se posait.

Arrivé sur le campus, Lucilien mit un moment avant de trouver le chemin de la salle de cours - tout était très mal indiqué, et plusieurs personnes lui avaient très fortement déconseillé de s’aventurer du côté du secrétariat pour s’enquérir de la salle. Il avait beau se dire parfois que qualifier la FEAH d’université de seconde zone était peut-être précipité, sous le coup de préjugés, lui qui avait étudié à Saint-Ange, mais la réalité ne lui donnait guère raison de croire le contraire.

A force de glisser son oreille contre les portes pour épier les discussions, il dénicha enfin la bonne salle de classe. Le cours avait déjà commencé, alors Lucilien se considérait comme une ‟surprise” pour pimenter la mise en situation préparée par le professeur - un certain Stratu… heu… Strato… Stratotruc. Un nom de nuage. Lucilien était journaliste et élu municipal, pas météorologue.

Il ouvrit la porte sans même prendre la peine de toquer, tout sourire.

— Bien le bonjour !

Dans la salle, les groupes se formaient avec difficulté. Les étudiants ressemblaient à des brebis égarées qu’on conduisait à l’abattoir. La pièce puait le stress.

— Votre cher professeur a sollicité ma présence afin de rendre plus crédible votre entraînement, mais je vous rassure, je ne serai pas aussi piquant que dans mes entretiens habituels. Il balaya du regard les étudiants avec un regard soudain confus. Peut-être ?

La confusion jouée laissa place à un sourire amusé.

— Pour celles et ceux qui ne me connaissent pas, je suis Lucilien Leonhart, journaliste du Petit Pointilleux. D’autres me connaissent aussi comme l’adjoint aux finances d’Avalyon, mais promis, je ne compte pas vous bassiner politique ou finances aujourd’hui. Nous sommes là aujourd’hui pour parler de vous, et de vos aspirations en tant que futurs héros !

Pour la première fois depuis son arrivée, il daigna glisser un regard au professeur nuage-quelque chose.

— Il va sans dire que mes exigences différeront sûrement de celles de votre professeur, étant un journaliste professionnel.
(c) Taranys
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Nolis Rojas
Nolis Rojas
Messages : 7
Date d'inscription : 13/02/2024
Localisation : FEAH
Nolis Rojas
Jeu 15 Fév - 12:56
Ft Multiple
Cours d'image de marque


Nolis a plein de défauts, elle est la première à le reconnaître. Parmi la Bande, elle était la Yôkai la plus jeune et clairement la plus immature ; elle ne compte plus le nombre de fois où ses aînés l’ont réprimandé et poussé à s’améliorer. Mais elle doit avouer que jusqu’à ce qu’elle commence à étudier à la FEAH, le manque de ponctualité n’en faisait pas parti. Elle n’avait jamais eu d’agenda aussi rigide et il n’est pas rare qu’elle arrive en retard sur le premier cours de la journée, surtout quand elle a passé la nuit dans les Archives pour lire.

Et il fallait qu’en plus, cette fois, elle se fasse prendre. Ses oreilles tintent encore de la réprimande de l’Archiviste qui l’a choppée ; elle est bonne pour des TIG, mais il s’agit clairement d’un souci secondaire à ses yeux pour l’instant. Bon sang, ses frères se ficheraient de sa tête s’ils la voyaient à cet instant, courir comme une dératée à travers les couloirs dans l’espoir d’arriver le moins en retard possible à un cours dont elle se fiche un peu, au fond.

La seule raison pour laquelle elle se plie au jeu est que le directeur l’a protégée des Zenin, voyant les avantages à avoir une personne qui ferait tout pour rester dans l’enceinte de la FEAH. Et si, pour l’instant, elle semble compliante, elle trouvera un moyen de se barrer d’ici et de retrouver d’autres membres de la Bande, même si ça implique de faire sauter des sceaux et s’attirer encore plus la rancœur d’exorcistes.

Les Yôkais ont le droit d’être libres. Les membres de la Bande ne faisaient même pas de mal aux humains tant que ces derniers restaient loin d’eux !

Enfin, la salle tant désirée apparaît sous ses yeux ; Nolis pousse la porte avec fracas, à bout de souffle. Son regard parcourt la classe et elle se fige en voyant qu’il y a un intervenant extérieur. Merde, elle est définitivement en retard. Elle retient un gémissement de désespoir – si seulement l’Archiviste ne l’avait pas retenue ! – avant de s’excuser.

Lo si…

Nolis se rend compte rapidement qu’elle n’a pas choisi la bonne langue et secoue la tête pour se reprendre. Malheureusement, l’espagnol et le japonais lui sont bien plus naturels que le français. Elle s’incline rapidement vers le professeur, espérant qu’il laissera couler pour cette fois, puis vers l’intervenant extérieur.

Je suis désolée ! J’ai été retenue par un des Archivistes.

Elle se faufile jusqu’à sa place, les joues rouges, avant de s’apercevoir qu’il y a déjà quelqu’un dessus. Elle comprend alors que le professeur a décidé de mettre en place un travail de groupe – visiblement des binômes – et elle se demande si elle n’aurait pas mieux fait de manquer le cours et de rester bien tranquillement dans les Archives.

… Qui n’a pas encore de binôme ?

Avec un peu de chances, ils sont en nombre impair et elle pourra échapper à l’exercice.


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Esope Daguerre
Esope Daguerre
Messages : 8
Date d'inscription : 09/02/2024
Localisation : F.E.A.H. (sciences asociales, première année, âgé de 22 ans)
Esope Daguerre
Ven 16 Fév - 0:45
Début du cours.

Je savais qu’on pouvait compter sur Archi !
Pas de Velours se lève et marque son approbation d’un coup de poing sur la table ; Archibald compte au nombre de ses professeurs préférés ; entre râleurs, ils se comprennent.
Content de pas me coltiner ce blaireau.
Sur cette remarque pleine de délicatesse, le therian abandonne son groupe et s’en va chercher un partenaire un peu moins naze ; c’est sans doute un étudiant un peu timide qui va se faire alpaguer et risque de devoir subir les humeurs du chat monstrueux pour toute la durée de l’exercice.

”Pas de Velours”:

“Ce blaireau”, dont le therian vient de parler, c’est Esope, qui affiche un air mi-figue mi-raisin. Le jeune homme tourne son regard aveugle vers son second binôme.
Et toi, Rita ?
La jeune asiatique est déjà debout, en train de faire un petit signe de la main à un élève de deuxième année, au fond de la classe.
J’vais profiter de l’occaze. C’est pas souvent que j’suis en cours avec mon mec.
Avec intérêt, Esope tourne le regard de sa poupée en peluche vers l’individu en question. C’est un petit blond affublé de larges lunettes, probablement un gars de la filière scientifique. Ou pas. La demi-portion a un marteau nordique au côté et un symbole runique tatoué sous la frange.
Amusez-vous bien, lance Esope sur un ton affable.
De leur trio universitaire, Rita est sans doute le seul membre ayant réellement une chance de devenir une héroïne. Ces cours lui seront sûrement profitables.

”Rita”:

Se retrouvant tout seul, Esope s’étale sur son pupitre en poussant un soupir.
On pourrait croire que le jeune homme paresse, mais Daguerreo, sa poupée-hibou, s’élève dans les airs d’un souple battement d’ailes. De son regard bleuté, le hibou observe la manière dont les élèves sont en train de s’organiser (mais peut-on bien parler d’organisation dans toute cette cohue ?).
Ayant repéré un individu n’étant pas encore en groupe, Esope se redresse mollement, et puis, en profitant de son point de vue supérieur, se fraie judicieusement un passage à travers les gesticulations de la foule.

Près du duo de dhampires que forment Sacha et Kecha, le petit hibou en peluche vient délicatement se poser. Daguerreo salue les deux jeunes gens, levant une aile dans leur direction pour attirer leur attention. Et avec un timing réglé comme du papier à musique, Esope fait son apparition derrière les jumeaux au moment où leurs yeux se posent sur la poupée.

Est-ce que l'un de vous deux veut bien se dévouer pour faire l’exercice avec moi ? demande-t-il en dodelinant de la tête, tournant son bandeau noir vers le duo, mais seulement pour donner l’illusion d’une conversation ordinaire où votre interlocuteur vous regarde bien en face.
Son point de vue à lui est en contre-plongée, provenant de Daguerreo, qui se tient entre les jumeaux et scrute en direction du corps d’Esope. Ce qui lui permet de s'observer en détail.

Le jeune fanatique a un sourire un peu las. Son enthousiasme habituel paraît creux. Les disputes qui agitent son trio universitaire sont en train de le miner. Le regard de sa poupée-hibou étant braqué sur lui, Esope est le premier à constater qu’il semble en petite forme.
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Jumeaux Vorobiev
Jumeaux Vorobiev
Messages : 152
Date d'inscription : 30/04/2023
Jumeaux Vorobiev
Jeu 22 Fév - 15:55
Le cours n'avait pas si mal commencé. Les jumeaux n'ayant pas l'intention de devenir des héros, ou même de poursuivre leurs études en sciences sociales, ils n'étaient donc pas très intéressés par leur image de marque. Mais pour une fois ça ne serait pas un ennuyant cours magistral mais des travaux pratiques, ça s'annonçait tout de suite plus intéressant. Sauf que, pour une raison totalement inconnue et arbitraire, leur professeur leur interdit de se mettre à deux. Et ils furent les seuls à recevoir une interdiction de cet ordre. C'était tellement injuste que Sacha, qui jusqu'à alors papoter à voix basse avec son frère, bondit de sa chaise.

Mais monsieur !

Kecha soupira. Il lui tira sur sa manche attirer son attention, et lui rappela dans leur langue natale :

Tu es dans 5 clubs, tu n'as pas le temps d'être en TIG.

Humpf.

Sacha se rassied dans son siège, les bras croisés et l'air maussade, s'avouant vaincu pour cette fois. Son frère avait raison, et il fallait choisir ses batailles. Ils se tournèrent automatiquement vers Sephora et Marissa, mais elles avaient déjà choisi de former un duo à deux. Ce qui voulait dire qu'ils allaient devoir sociabiliser avec d'autres étudiants. Kecha s'en moquait, il aimait bien connaître de nouvelles personnes, mais Sacha commençait très fortement à regretter de ne pas avoir sécher le cours pour gratter une heure de sommeil en plus bien méritée. Il était un solitaire qui se débrouillait très bien tout seul, et si ce n'était son jumeau, il ne voyait pas l'intérêt d'apprendre à travailler avec d'autres personnes.

Ce fut ce moment que choisit Lucilien Leonheart, un journaliste un peu trop haut en couleurs et aimant beaucoup trop s'écouter parler, pour entrer en scène. Les Vorobiev échangèrent un regard qui en disait long, et choisit tacitement de totalement ignorer cette intrusion. Les journalistes n'étaient pas leurs amis. Sacha poussa un soupir à fendre l'âme et posa ses mains sur les épaules de Kecha.

Kecha, j'ai bien peur que nous devions nous séparer ici. Sois fort dans cette épreuve.

Son frère rentra immédiatement dans son jeu et prit ses mains dans les siennes, l'oeil brillant.

Sacha, sache que je compterai chaque minute jusqu'à nos retrouvailles.

Une petite chouette se posa devant eux, attirant leur regard. Sacha râla, lâchant son frère.

Quoi ? Tu déranges un moment lourd en émotions là.

Ils avaient bien entendu reconnu l'étrange automate (?) qui accompagnait partout leur camarade Esope et qui lui permettait de voir. Ils ne furent donc pas surpris qu'ils surgissent derrière eux. Chaque personne ici avait une odeur bien propre, que les dhampires reconnaissaient sans peine. Encore plus lorsque leur dernier collation sanglante remontait déjà à quelques jours. Ils allaient bientôt devoir passer au centre de traumatologie. Sacha haussa les épaules. Il n'avait aucun a priori, positif ou négatif, sur Esope, alors lui ou un autre...

Ouais, je veux bien me mettre avec toi, pour ce que j'en ai à foutre de son exercice de merde.

Autant pour l'argot et les insultes. Sacha n'avait fait aucun effort pour ne pas être entendu. En soit il n'avait rien contre leur TD du jour, mais il était toujours contrarié par le fait d'être séparé de son frère. Etant un des derniers sans binôme, Kecha se tourna vers Nolis, une autre fille de son année à qui il n'avait jamais vraiment parler, en l'entendant demander si quelqu'un en cherchait encore un. Il se faufila jusqu'à elle.

Salut Nolis ! Je n'ai pas de binôme non plus, mettons-nous à deux ! Tu préfères faire la journaliste ou l'héroïne en première ?

Kecha n'avait pas de préférence, et même s'il en avait, il se serait adapté à sa partenaire d'un cours.
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